E. Rosamilia, « Firme di scultori della Cirenaica: un'analisi del corpus », dans M. Luni (éd.), Cirene greca e romana, Roma 2014, 89-106, part. n. 8, suivie par C. Dobias-Lalou, http://doi.org/10.6092/UNIBO/IGCYRGVCYR IGCyr021000, a proposé, de façon convaincante, de comprendre les lettres de la troisième ligne de cette inscription, ΩPΩANEΘHKE, non comme une dédicace à Horus avec un iota souscrit (Ὥρῳ ἀνέθηκε) peu compatible avec la chronologie du texte (ca 280 a.C.), mais comme la fin du patronyme Θευδώρω, déjà mentionné sur la première ligne. Un second bloc, qui devait présenter le reste de cette inscription honorifique, non retrouvé, était relié au bloc conservé comme le suggère l'anathyrose encore observable aujourd'hui.

Cette inscription honorifique ne concerne donc pas les cultes isiaques et doit être exclue du corpus.