Fragment d'une plaque. Egarée.Début du Ier s. a.C.

« À [- ? -] Sarapis, [...]os, fils de Polydôros, de Sinope, à la suite d’un songe. »

J. Mordtmann, « Ἀρχαιότητες Τόμεως », Ελληνικός Φιλολογικός Σύλλογος εν Κωνσταντινούπολει παράρτημα XIII, 1880, p. 65-66 n° 6 (D. M. Pippidi, « Sur la diffusion des cultes égyptiens en Scythie Mineure », StudClas 6, 1964, p. 106 ; SIRIS, 706 ; M. Tacheva-Hitova, Eastern Cults in Moesia Inferior and Thracia (5th Century B.C.–4th Century A.D.), Leiden, 1983, p. 11 n° I.15 ; ISM II, p. 181 n° 152 (37) ; ISM VI.2, p. 45 n° 152).

L. x + 3 sur cette formule, cf. n° 113/0513 (Thessalonique).
L. x + 4 sur Sarapis et Sinope, voir n° 309/0102.