609/0503 (Suppl. I). Mogontiacum (Mainz). Dédicace à Isis panthea.
Plaque en calcaire brisée en nombreux fragments, en forme de tabula ansatadans le sanctuaire double d'Isis et de la Mater deum. Mainz, Landesmuseum. Dernier tiers du Ier siècle p.C. d'après la prosopographie.
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Pro salute Augustorum et
s(enatus) p(opuli)q(ue) R(omani) et exercitus
Isidi Pantheae Claudia Aug(usti) l(iberta) Icmas
et Vitulus Caes(aris) (servus) sacer(dote) Claud(io) Attico lib(erto).
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« Pour le salut des Augustes et du sénat et du peuple romain, et de l’armée, à Isis panthée, Claudia Icmas, affranchie impériale et Vitulus, esclave impérial (ont dédié), sous la prêtrise de Claudius Atticus (lui-même) affranchi. »
M. Witteyer, Das Heiligtum für Isis und Magna Mater, Mainz, 2004, p. 17 n° 3 (ph) (AE, 2004, 1016) ; G. Höber-Kamel, « Das Isis-Heiligtum unter der Römerpassage in Mainz », Kemet 13.4, oct. 2004, p. 66 (ph) ; Ubi erat lupa, 20414 (ph).
La dédicante et le prêtre sont des affranchis de Claude ou de Néron.
Seul le nom de la divinité honorée distingue l’inscription 609/0502 de celle-ci. Toutes deux ont dû être déplacées au IIe s. pour encadrer un foyer à offrandes.
Des traces de lettres, non identifiables, subsistent sous l’actuelle dédicace.
L. 3 l’épiclèse panthea est également portée par Isis dans une dédicace de Bétique retrouvée dans les environs de Montilla et datée du IIe siècle p.C. (602/0701).
Seul le nom de la divinité honorée distingue l’inscription 609/0502 de celle-ci. Toutes deux ont dû être déplacées au IIe s. pour encadrer un foyer à offrandes.
Des traces de lettres, non identifiables, subsistent sous l’actuelle dédicace.
L. 3 l’épiclèse panthea est également portée par Isis dans une dédicace de Bétique retrouvée dans les environs de Montilla et datée du IIe siècle p.C. (602/0701).