Pierre dans les ruines de la porte Jovia. Perdue.

« Consacré à Esculape. Caecus, gardien du temple d’Isis, a déposé. »

CIL XII, 2215 (M. Renard, « Asklepios et Hygie en Gaule», Actes du Colloque sur les influences helléniques en Gaule, Dijon, 1958, p. 101-102 ; SIRIS, 740 ; G. Grimm, Die Zeugnisse ägyptischer Religion und Kunstelemente im römischen Deutschland,, Leiden, 1969, p. 74 ; B. Rémy, F. Bertrandy, Inscriptions Latines de Grenoble et de son agglomération, Grenoble, 2002, p. 92 n° 1 ; B. Rémy, B. Dangréaux, Inscriptions latines de Narbonnaise (ILN), V. 2, Vienne, Paris, 2004, n° 351).

L. 1-4 Aesculapio / sac(rum). M. / Cae[lius] / Isid[orus] (ou similaire) aedi[l(is)] Hirschfeld (CIL), estimant le texte corrompu. Il n’y a pas de raison à cela, les liens entre Asklépios, Isis et Sarapis en tant que dieux guérisseurs étant très étroits. Cf. nn° 203/0301, 616/0406 et L. Bricault, « Serapide, dio guaritore », dans E. dal Covolo & G. Sfameni Gasparro (éd.), Cristo e Asclepio. Culti terapeutici e taumaturgici nel mondo mediterraneo antico fra cristiani e pagani, Roma 2008, p. 55-71.
L. 4 sur la fonction d’aedituus, cf. n° 501/0122.