503/1103. Ostia (Ostia antica). Dédicace d'un bâtiment du Serapeum.
Tympan triangulaire en marbre en deux morceaux, incompletlors de la restauration du pavement du portique de droite du Serapeum, où il avait
été réutilisé tardivement. Sur le site inv. 7937. 127 p.C. ou époque sévérienned'après la paléographie et le contexte
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Iovi Serapi.
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« À Jupiter Sérapis. »
M. Floriani Squarciapino, FA 8, 1953, p. 272 n° 3680 (AE, 1956, 76) ; H. Bloch, « The Serapeum of Ostia and the Brick-stamps of A.D. 123 », AJA 63, 1959, p. 225 et pl. 50,4 ; M. Floriani Squarciapino, I Culti orientali ad Ostia, Leiden, 1962, p. 21 ; SIRIS, 533 ; M. Malaise, Inventaire préliminaire des documents égyptiens découverts en Italie, Leiden, 1972, p. 71 Ostia 16 ; F. Zevi, « Iscrizioni e personaggi nel Serapeo », dans R. Mar (éd.), El santuario de Serapis en Ostia, Tarragona, 2001, p. 188 n° 6 ; F. Van Haeperen, « Ostia. Temple de Sérapis (III, XVII, 4) », Fana, templa, delubra. Corpus dei luoghi di culto dell’Italia antica (FTD) 6. Regio I. Ostie, Porto, Roma, 2019, p. 220 fig. 243.
Sur le Serapeum d'Ostie, voir le n° 503/1102.
Les dimensions de la plaque (149 x 230 cm selon Zevi, repris par Van Haeperen, ce qui ne peut être la réalité - cf. photo) sont inférieures à celles du fronton du temple, dont elle pourrait de fait ne pas porter la dédicace initiale. Selon l'opinion de plusieurs savants (Floriani Squarciapino 1962, Zevi, Van Haeperen), elle se rapporterait peut-être davantage à une autre partie de l'édifice, comme le prothyron externe de la cour du temple et serait à dater de la fin du IIe s. (B. Bollmann, Römische Vereinshauser : Untersuchungen zu den Scholae der römischen Berufs-, Kult- und Augustalen-Kollegien in Italien, Mainz 1998, p. 311) plutôt que de 127 p.C. (Bloch, Malaise, RICIS), ce qui ne peut être exclu.
Les dimensions de la plaque (149 x 230 cm selon Zevi, repris par Van Haeperen, ce qui ne peut être la réalité - cf. photo) sont inférieures à celles du fronton du temple, dont elle pourrait de fait ne pas porter la dédicace initiale. Selon l'opinion de plusieurs savants (Floriani Squarciapino 1962, Zevi, Van Haeperen), elle se rapporterait peut-être davantage à une autre partie de l'édifice, comme le prothyron externe de la cour du temple et serait à dater de la fin du IIe s. (B. Bollmann, Römische Vereinshauser : Untersuchungen zu den Scholae der römischen Berufs-, Kult- und Augustalen-Kollegien in Italien, Mainz 1998, p. 311) plutôt que de 127 p.C. (Bloch, Malaise, RICIS), ce qui ne peut être exclu.