501/0205. Roma (Roma). Inscription en l'honneur de Markos Aurélios Asklépiadès.
Fragment d'une base en marbredans les jardins de S. Pietro in Vincoli PerduRègne de Caracalla au plus tôtd'après la prosopographie.
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[Μ. Αὐρ(ήλιον) Ἀσκ]ληπιάδην Ἀλε[ξανδρέα]
[πανκρατιασ]τὴν περιοδονείκη[ν]
[πρεσβύτατο]ν νεωκόρον τοῦ μεγά[λου]
[Σαράπι]δος καὶ τῶν ἐν τῷ Μουσείῳ
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[σειτου]μένων ἀτελῶν φιλοσόφων
[ἀρχιερέ]α τοῦ σύμπαντος ξυστοῦ
[διὰ] βίου ξυστάρχην καὶ ἐπὶ
βαλανείων τοῦ Σεβαστοῦ,
ἡ σύνοδος
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« (Statue de) [Markos Aurélios] Asklépiadès d’Alexandrie, pancratiaste, périodonique, néocore[-doyen] du grand Sarapis et pensionnaire académique perpétuel du Musée, grand-prêtre de l’association internationale des athlètes, xystarque à vie et surintendant des bains impériaux. L'association.»
O. Falconieri, Inscriptiones athleticae nuper repertae, Roma, 1668, p. 97 (CIG, 5914 ; IG XIV, 1103 ; OGIS II, 714 ; IGRR I, 154 ; IGUR I, 1968, 241 ; SIRIS, 430 ; M. Malaise, Inventaire préliminaire des documents égyptiens découverts en Italie, Leiden, 1972, p. 139 Roma 91).
L. 1 sur ce personnage, cf. n°
501/0203.
L. 2 [πανκρατιασ]τὴν Moretti, [παγκρατιασ]τὴν Vidman (
SIRIS).
L. 7-8 pour J.-Y. Strasser, « Les Olympia d'Alexandrie et le pancratiaste M. Aur. Asklèpiadès »,
BCH, 128-129.1, 2004, p. 446, Asklépiadès n'a pu devenir ἐπὶ βαλανείων τοῦ Σεβαστοῦ, au plus tôt, que lors du règne de Caracalla seul, soit après 212; cette inscription est en outre postérieure à l'érection du n°
501/0204, date à laquelle Asklépiadès n'est pas encore doyen des néocores du grand Sarapis.