501/0173. Roma (Roma). Inscription funéraire.
Autel en marbre blanc (h. 72 cm ; l. 43 cm ; p. 34 cm) Vu pour la première fois Villa Corsini. . Au centre de la face antérieure, une isiaque brandit de la dextre un sistre et tient dans la senestre une situle. Sur le côté gauche, une cruche, sur le droit, une patère. Roma, Direzione Generale dell’Antichità e Belle Arti, Villa Doria Pamphilj, giardino dei colombari, inv. 37697. 160-170 p.C.
Dis Manibus
Flaviae Taelete et
Flaviae
Faustillae
5
Valeria Prima mater.
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Aux dieux Mânes de Flavia Taeletè et de Flavia Faustilla. Valeria Prima, leur mère.
CIL VI, 18442 (SIRIS, 452 ; M. Malaise, Inventaire préliminaire des documents égyptiens découverts en Italie, Leiden, 1972, p. 128 Roma 53) ; P. Pensabene, dans R. Calza et al., Antichità di Villa Doria Pamphilj, Roma, 1977, p. 135-136 n° 164 et pl. CV fig. 164 (cf. N. Genaille, BSFE 77-78, 1977, p. 63) ; D. Boschung, Antike Grabaltäre aus den Nekropolen Roms, Bern, 1987, p. 115 n° 978 et pl. 59 ; D. E. E. Kleiner, Roman Imperial Funerary Altars with Portraits, Roma, 1987, p. 198-199 n° 71 et pl. XLI,2 ; J. Eingartner, Isis und Ihre Dienerinnen in der Kunst der römischen Kaiserzeit, Leiden, 1991, p. 160 n° 131 et pl. LXXX ; EDR, 190801.
L. 5 VARIA la pierre, les lettres LE ayant été rajoutées après coup au-dessus de VA. Valeria, prima mater Pensabene (suivi par Kleiner) qui croit que Valeria est une initiée ayant rang de mater dans un collège isiaque et que le relief la représenterait elle, et non les deux défuntes.
La datation du cippe est débattue : 90-117 p.C. pour Kleiner, 160-170 p.C. pour Pensabene et Eingartner.