105/0709. Orchomenos (Orchomenos). Affranchissement par consécration.
Pierre. Fin du IIIe-début du IIe s. a.C., de la même année que les nn° <link>105/0701</link>-02.Gravé juste sous le n° 105/0708 et donc légèrement postérieur.
[Θάρσωνος ἄρχοντος, ἱαρειά]δδοντος Ξενοκράτιος Μιλιχί-
[δαο, πολεμαρχίοντων Σάων]ος Ἅβρωνος, Λιούκωνος Εὐγίτον[ος],
[Δορκίλλιος Ἀθανοδώρω, ἀντίθειτι] Δάμων Ἀρίστωνος τὸν ϝίδιον
[ϝυκέταν ....... ἱαρὸν εἶμεν τῶ Σ]αράπιδος κὴ τ[ᾶς Ἴ]σιδος, κὴ
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[μεὶ ἐσσεῖμεν μειθενὶ ἐφάπτεστη. ἠ δ]έ κά τις ἐφ[άπτειτ]η, κούρι-
[ος ἔστω ὁ ἱαρεὺς κὴ τὺ πολέμαρχυ κὴ τὺ σούνεδρυ σο]υλῶν-
[τες κὴ δαμιώοντες, κτλ.]
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Tharsôn étant archonte, Xénokratès, fils de Milichidas, étant prêtre, Saôn, fils d’Habrôn, Lioukôn, fils d’Eugiton, Dorchilleis, fils d’Athanadôros, étant polémarques, Damôn, fils d’Ariston, consacre son domestique [---] à Sarapis et Isis. Il ne sera permis à personne de le saisir. Si quelqu’un le saisit, le prêtre et les polémarques et les synèdres auront le droit de le reprendre et de mettre le délinquant à l’amende, [---].
Ad. Wilhelm, Neue Beiträge zur griechischen Inschriftenkunde IV, Wien, 1915, p. 15-18 n° 2 et pl. I (estampage de Rhousopoulos).
Cet acte d’affranchissement et le n°
105/0708, connus par un estampage de Ad. Wilhelm, ne se trouvent pas sur l’autel portant les nn°
105/0703 à
105/0707, mais sur une autre pierre, comme le précise Chr. Chandezon, “Particularités du culte isiaque dans la basse vallée du Céphise (Béotie et Phocide)”, dans N. Badoud (éd.),
Philologos Dionysios. Mélanges offerts au professeur Denis Knoepfler, Genève 2011, 152, n. 2.
L. 4 καὶ τ[ᾶς Wilhelm.