Fragment en pierre. Split, Archaeological Museum.

CIL III, 12834 ; P. Selem, « Egipatska bozantsva u Arheoloskom Muzeju u Splitu », VHAD LXI, 1959, p. 94-107 ; M.-C. Budischovsky, La diffusion des cultes isiaques autour de la mer Adriatique, Leiden, 1977, Sl 1 p. 192 ; P. Selem, I. Vilogorac Brčić, Religionum Orientalium monumenta et inscriptiones Salonitae (ROMIS), Zagreb, 2012, p. 59-60 n° 1.

Isid[i] Selem, Isid[...] Vidman; ce dernier, dans une note p. 294 de la SIRIS, rejette ce document considérant Isid comme le début d’un nom théophore contra Selem pour qui ce fragment doit être isolé des autres car ne faisant pas partie d’une stèle funéraire mais d’une dédicace à Isis.

Si tous les fragments recensés par Mommsen dans le CIL III sous le n° 12834 proviennent d’une même inscription, il s’agit certainement d’une stèle funéraire (mais P. Selem et I. Vilogorac n’ont pu retrouver ces fragments au musée de Split), et il est alors très probable que les lettres ISID de la première ligne appartiennent à un nom théophore et non à celui de la déesse. Si le fragment portant ces quatre lettres est à dissocier des autres, il a pu appartenir à une dédicace, ou à autre chose.