*608/0201. (Kontich). Graffito.
Tesson en céramique Antwerpse Vereniging voor Romeinse Archeologie.
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ΣΑΡΑΠΙ[---]
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F. Lauwers, , « Kontich : Gallo-Romeinse vicus », Arch., 1968/2, p. 65-66 ; G. Faider-Feytmans, « Le culte de Mithra en Belgique orientale », Mélanges de numismatique, d’archéologie et d’histoire offerts à Jean Lafaurie, Paris, 1980, p. 103 ; ILB, 150 (SEG XXXVIII, 1988, 1023) ; A. Martin, AC LVI, 1987, p. 431 ; W. Clarysse, dans le catalogue de l’exposition, Les Empereurs du Nil, Tongres-Amsterdam, 2000, n° 266 (ph) ; ILB2, 2002, 150.
Σαράπι[δι] ILB, ILB2, Σαραπί[ωνος] e.g. Martin.
Les auteurs des ILB appuient leur restitution sur le rapprochement de ce fragment avec les quelques inscriptions sur récipients (cf. n° 504/0219) concernant les cultes isiaques. On pourrait tout aussi bien y voir un nom propre au génitif, comme le suggère A. Martin qui renvoie à IG XIV 2393446 (Centuripae, Sicile). W. Clarysse songe même à un faux, la paléographie de l’inscription lui paraissant suspecte, car renvoyant à des époques aussi éloignées l’une de l’autre que les Ve-IVe s. a.C. (pour le Σ aux jambes écartées) ou la fin de l’époque hellénistique (pour le Π aux jambes égales).
Les auteurs des ILB appuient leur restitution sur le rapprochement de ce fragment avec les quelques inscriptions sur récipients (cf. n° 504/0219) concernant les cultes isiaques. On pourrait tout aussi bien y voir un nom propre au génitif, comme le suggère A. Martin qui renvoie à IG XIV 2393446 (Centuripae, Sicile). W. Clarysse songe même à un faux, la paléographie de l’inscription lui paraissant suspecte, car renvoyant à des époques aussi éloignées l’une de l’autre que les Ve-IVe s. a.C. (pour le Σ aux jambes écartées) ou la fin de l’époque hellénistique (pour le Π aux jambes égales).