*518/0501. Catina ? (Catania). Plantae pedis.
Plaque en marbre (h. 45 cm ; l. 34,5 cm ; p. 4 cm) Catania, Museo dello Castello Ursino inv. MB 571Fin du Ier-IIe s. p.C.
|
M. Antonius Cal[l]istus.
|
« Marcus Antonius Callistus. »
F. Ferrara, Storia di Catania sino alla fine del secolo XVIII con la descrizione degli antichi monumenti ancora esistenti e dello stato presente della città, Catania, 1829, p. 393 n° 2 ; G. Manganaro, « Ricerche di epigrafia siceliota », SicGymn XIV.2, 1961, p. 184 n° II et p. 190 fig. 7 ; SIRIS, 515 ; M. Malaise, Inventaire préliminaire des documents égyptiens découverts en Italie, Leiden, 1972, p. 316 Catana 1 ; G. Sfameni Gasparro, I culti orientali in Sicilia, Leiden, 1973, p. 209 n°139 ; K. Korhonen, Le iscrizioni del Museo cívico di Catania. Storia delle collezioni - Cultura epigrafica - Edizione, Helsinki, 2004, p. 152-153 n° 9 ; EDR, 138379.
Ce document pose deux problèmes : celui de sa provenance et celui de son lien avec les cultes isiaques.
La pierre est signalée pour la première fois par Ferrara en 1829 parmi les inscriptions de provenances diverses du Museo Biscari. Il est de fait actuellement impossible de savoir s'il s'agit d'une trouvaille locale, d'une pierre découverte ailleurs en Sicile, voire d'un monument transporté, comme bien d'autres, depuis Rome.
D’autres plaques avec des plantes de pieds furent retrouvées à Catane ; cf. Manganaro 1961, p. 183-184 ; toutefois, en l’absence d’informations sur le contexte de la découverte, il est bien difficile d’associer nécessairement ces empreintes au culte d'Isis, d'autant que rien, dans le texte ou l'iconographie, ne permet de le dire non plus. Sur ce type de document, voir n° 105/0894.
La pierre est signalée pour la première fois par Ferrara en 1829 parmi les inscriptions de provenances diverses du Museo Biscari. Il est de fait actuellement impossible de savoir s'il s'agit d'une trouvaille locale, d'une pierre découverte ailleurs en Sicile, voire d'un monument transporté, comme bien d'autres, depuis Rome.
D’autres plaques avec des plantes de pieds furent retrouvées à Catane ; cf. Manganaro 1961, p. 183-184 ; toutefois, en l’absence d’informations sur le contexte de la découverte, il est bien difficile d’associer nécessairement ces empreintes au culte d'Isis, d'autant que rien, dans le texte ou l'iconographie, ne permet de le dire non plus. Sur ce type de document, voir n° 105/0894.